En route vers Mars, en mook et en BD
Compliquée, la conquête de l’espace ? Pas quand elle est expliquée avec des mots simples par des spécialistes.
Compliquée, la conquête de l’espace ? Pas quand elle est expliquée avec des mots simples par des spécialistes.
Il y a peu d’endroits dans le Système solaire où les scientifiques ont autant d’espoirs de découvrir la vie que dans les océans situés sous la surface de la lune glacée Europe. De nouvelles analyses montrent que de l’eau pourrait traverser ce manteau de glace et jaillir sous forme gazeuse, nous renseignant sur ce qui se trame sous cette épaisse banquise.
De récentes études soutenues par l’ESA montrent que pour construire les futures bases lunaires, la recette pourrait être assez élémentaire : de la poussière, de l’urine et une imprimante 3D.
Alors que la crise de covid-19 nous pousse à rester chez nous, Didier Schmitt, rédacteur en chef du Mook Mars, s’est exprimé sur les similitudes entre le confinement actuel et celui vécu par les astronautes. Un extrait d’interview parue dans La Libre et conduite par Isabelle Monnart.
Chaque numéro du mook Mars aura un sujet fil rouge (au-delà de la planète rouge). Ce premier numéro nous éclaire sur le déplacement dans l’espace, en particulier vers Mars.
Ingénieur aérospatial de formation, Thomas Pesquet réussit le concours des pilotes cadets d’Air France, puis devient pilote et instructeur sur A320. Depuis peu, il est aussi pilote sur A310 pour les campagnes de vols 0g Novespace.
La décennie 2020 sera celle du renouveau pour les missions lunaires. Plus d’une dizaine d’atterrisseurs robotiques sont déjà planifiés par des acteurs étatiques et privés, avec une contribution européenne significative.